tournesol

    Etant de formation plutôt scientifique, je me suis intéressé à toutes les recherches faites sur le sujet et nous verrons plus tard que le chemin des expérimentations est encore bien long.

    Il ne faut pas oublier que le fermier qui fait venir un sourcier ne s’intéresse qu’à la réussite de son puits, donc à un résultat sous forme de volume d’eau exploitable. Et dans ce sens, mon père a apporté une contribution intéressante dans l’Ouest de la France. Je pense que l’on peut lui attribuer entre 1000 et 2000 puits, le comptage n’ayant jamais été réalisé.

    Pour ma part, je pense que plus il y aura de sourciers, plus il y aura d’expériences et plus nous pourrons avancer dans les recherches. C’est pourquoi, je fais de temps en temps des exposés sur le sujet et je ne manque pas d’encourager jeunes et moins jeunes à essayer de trouver des sources. Et toujours, certaines personnes se découvrent une nouvelle faculté et deviennent comme le petit garçon de 6 ans, des sourciers.

    L’exposé qui va suivre est découpé en plusieurs chapitres. Parmi les explications, j’insérerais quelques anecdotes glanées ici et là ou bien tout simplement vécues.


A 20 ans, vérification de la profondeur de la source qui alimente ce puits chez un exploitant près de Casablanca (l'auteur est à gauche) .

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